Tokyo la nuit : Les cabarets
Paris, Londres ou New York ne peuvent pas concurrencer
Tokyo,qui compte 30 000 bars, cabarets, boîtes
et autres lieux de plaisir, où travaillent 200 000 personnes,
dont 150 000 hôtesses, quelques centaines d'" hôtes ", l'équivalent
masculin pour dames esseulées, et d'innombrables gay boys,
prostitués homosexuels.
Aux nombreux cabarets de striptease (nudo gekijo)
et salons de massage, appelés soaplands, s'ajoute une partie
des 20 000 cafés de Tokyo, qui attire la clientèle
même en pleine journée avec des serveuses aux seins nus...
voire en costume d'Eve.
Au prix (assez élevé) d'un café, certains mettent un petit
cabinet meublé d'un divan à la disposition des couples qui
ne peuvent pas se payer un hôtel de rendez-vous (love hotels).
La sécurité et des prix sans surprise constituent l'un
des agréments de la vie nocturne de Tokyo.
Soucieux d'attirer une clientèle d'habitués plutôt que
des visiteurs occasionnels, les cabarets s'efforcent
de vous donner satisfaction en vous assurant un service
honnête.
Méfiez-vous seulement des rabatteurs et des établissements
qu'ils recommandent.
Suite
du voyage au Japon
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